Près de cinquante pays de la planète peuvent se vanter de vendre sur leur territoire des voitures de luxe du groupe automobile General Motors, appelées Cadillac. Posséder une telle voiture signifie a priori que l’on a réussi, que l’on est respectable et que l’on est très riche.
Essayons d’identifier les principales orientations de la formation de Cadillac et de décrire les facteurs qui influencent la popularité de la marque.
Comment le nom de la marque est-il apparu
Les colonies américaines de la France n’étant pas très nombreuses par rapport à d’autres, il est décidé de les agrandir. Au début du XVIIIe siècle, près de deux cents colons et soldats débarquent en un lieu appelé Nouvelle-France. Ils sont dirigés par le marquis Antoine Laumet de la Mothe Cadillac. Âgé de 43 ans, le 24 juillet 1701, il est capitaine de navire issu d’une vieille famille gasconne. Au lieu de débarquement, le marquis décida d’établir un fort, ce qui fut fait. L’établissement fut baptisé en l’honneur du ministre du roi, le comte de Pontchartrain – Fort Pontchartrain du Détroit. En fait, le nom de la ville de Détroit, qui devint plus tard un fort français, se traduit par « détroit ». Le nom de Cadillac lui-même a été presque oublié pendant deux cents ans, jusqu’à ce que, lors des célébrations organisées en l’honneur du bicentenaire de la fondation de la ville, on se souvienne de lui comme d’un homme de grand courage et d’entreprise, capable de faire de ses ambitions une réalité.
À Détroit, à l’époque, les constructeurs automobiles n’étaient pas encore dominants, mais il existait une entreprise qui produisait des outils. Son cofondateur et vice-président était un talentueux et unique, Henry Leland. Ses capacités d’ingénierie étaient vraiment remarquables et polyvalentes. Cependant, le principal hobby de Leland était basé sur l’interchangeabilité des pièces et la précision des processus de production. Henry a mis au point un moteur de 10,25 CV – c’était très progressiste pour 1901 ! Les propriétaires de la Detroit Automobile Company apprécient cette réalisation et, en août 1902, Henry Leland rejoint le conseil d’administration de la société, rebaptisée en l’honneur du marquis : Cadillac. « Le ciel est la limite » – une devise qui est devenue le fil conducteur de la vie et du travail de Leland. Plus tard, il fonde Lincoln, mais Ford en devient le propriétaire et Leland se retire des affaires. Le fondateur de deux marques de voitures de luxe est oublié dans le monde de l’automobile.
Comment le nom de la marque est-il apparu
Les colonies américaines de la France n’étant pas très nombreuses par rapport à d’autres, il est décidé de les agrandir. Au début du XVIIIe siècle, près de deux cents colons et soldats débarquent en un lieu appelé Nouvelle-France. Ils sont dirigés par le marquis Antoine Laumet de la Mothe Cadillac. Âgé de 43 ans, le 24 juillet 1701, il est capitaine de navire issu d’une vieille famille gasconne. Au lieu de débarquement, le marquis décida d’établir un fort, ce qui fut fait. L’établissement fut baptisé en l’honneur du ministre du roi, le comte de Pontchartrain – Fort Pontchartrain du Détroit. En fait, le nom de la ville de Détroit, qui devint plus tard un fort français, se traduit par « détroit ». Le nom de Cadillac lui-même a été presque oublié pendant deux cents ans, jusqu’à ce que, lors des célébrations organisées en l’honneur du bicentenaire de la fondation de la ville, on se souvienne de lui comme d’un homme de grand courage et d’entreprise, capable de faire de ses ambitions une réalité.
À Détroit, à l’époque, les constructeurs automobiles n’étaient pas encore dominants, mais il existait une entreprise qui produisait des outils. Son cofondateur et vice-président était un talentueux et unique, Henry Leland. Ses capacités d’ingénierie étaient vraiment remarquables et polyvalentes. Cependant, le principal hobby de Leland était basé sur l’interchangeabilité des pièces et la précision des processus de production. Henry a mis au point un moteur de 10,25 CV – c’était très progressiste pour 1901 ! Les propriétaires de la Detroit Automobile Company apprécient cette réalisation et, en août 1902, Henry Leland rejoint le conseil d’administration de la société, rebaptisée en l’honneur du marquis : Cadillac. « Le ciel est la limite » – une devise qui est devenue le fil conducteur de la vie et du travail de Leland. Plus tard, il fonde Lincoln, mais Ford en devient le propriétaire et Leland se retire des affaires. Le fondateur de deux marques de voitures de luxe est oublié dans le monde de l’automobile.
Le premier-né de l’entreprise Cadillac
La toute première Cadillac Model A est apparue en public en 1903. Elle a été vue par les visiteurs du New York Auto Show. Le moteur était un monocylindre. La même année, près de 2,5 milliers de voitures similaires ont été assemblées. Jusqu’en 1908, les noms des voitures étaient composés d’une seule lettre, mais toutes les voitures de la période 1909-14 étaient déjà appelées Model 30 – à l’origine en l’honneur du moteur de 30 CV. En 1912, Leland a supprimé la manivelle de démarrage et les voitures ont commencé à être équipées de démarreurs électriques.
En 1915, lors de la commercialisation du premier V8 américain, Cadillac a appelé la nouvelle voiture le Type 51 et, jusqu’en 1925, a utilisé des symboles similaires, jusqu’à atteindre le Type V-63. Ensuite, les voitures de l’année modèle 1926 ont reçu l’indice de la série 314, et des marquages similaires ont été portés par toutes les voitures Cadillac jusqu’en 1934, et différents modèles de la même année ont reçu différents indices à trois chiffres, en fonction du moteur et de l’empattement. L’année 1935 fut une année de transition, avec des marquages confus, mais l’année suivante vit naître un schéma qui resta logiquement en vigueur jusqu’en 1965 : Série 50/60/70/75/80/85/90, où un indice plus élevé indique un statut plus élevé de la modification dans la nomenclature. Ainsi, l’indice Série 50 appartenait à la marque filiale LaSalle, la Série 75 – aux voitures phares à empattement long équipées d’un V8 et la Série 90 signifiait un V-16 sous le capot. La série la plus populaire était sans doute la série 62, qui comprenait la plupart des voitures Cadillac produites entre 1940 et 1962. Cependant, toutes ne pouvaient pas se vanter d’un nom supplémentaire comme Coupe de Ville ou Eldorado.
En même temps, chaque modification se voyait attribuer un indice interne à quatre chiffres, par exemple, 6129 désignait le cabriolet 4 portes de 1929 de la série 61. Contrairement aux voitures soviétiques et chinoises, pour lesquelles ces indices constituaient les noms des modèles par la suite, Cadillac ne les utilisait pas en dehors du processus de production et des affaires internes des concessionnaires, c’est-à-dire que l’acheteur n’avait pas besoin de comprendre ces combinaisons.
En 1965, le système des séries a été aboli. Les indices numériques internes ont été remplacés par des indices à cinq chiffres (ils ont perduré jusque dans les années 1980), mais cette année-là, dans tous les répertoires, les voitures étaient divisées en trois modèles : le modèle de base Calais, le modèle moyen et le plus populaire De Ville et le modèle phare Fleetwood. Bien entendu, chacun de ces modèles était produit avec des carrosseries différentes, alors qu’ils appartenaient tous à l’époque à la même plate-forme. Ce n’est peut-être qu’en 1987 que la marque est finalement passée à une gamme moderne et relativement claire : DeVille, Fleetwood, Brougham, Eldorado, Seville, Cimarron et Allante étaient des modèles distincts avec un positionnement logique dans la gamme de la marque et sans aucune difficulté d’identification. Bien sûr, depuis lors, il y a des transformations chaque année, mais la nomenclature de Cadillac est devenue facile à comprendre pour les Européens.
Qu’est-ce qui attire les gens dans la marque Cadillac
Les voitures modernes de cette marque représentent toujours la fiabilité, la praticité, le luxe et la puissance d’il y a de nombreuses années. Il s’agit sans aucun doute de voitures destinées aux personnes fortunées. La société automobile Cadillac elle-même est l’une des plus grandes et des plus puissantes entreprises automobiles d’Amérique. Elle a l’honneur de produire des voitures exclusives pour les puissants, en particulier pour les présidents des États-Unis. Ainsi, Donald Trump, après l’investiture de 2017, a eu à sa disposition la Cadillac Presidential. Donald apprécie et aime Cadillac depuis l’époque où le slogan « Standard of the World » correspondait vraiment à ces voitures.
Les voitures Cadillac ont reçu ce slogan au début du vingtième siècle, lorsque trois voitures étaient démontées en pièces détachées en une seule fois, puis les dernières étaient mélangées et trois nouvelles voitures étaient assemblées à partir de ces pièces – sans ajustement manuel. Toutes les pièces étaient en place comme un gant, ce qui signifiait une précision parfaite de la production et de la norme dans chaque ligne. À l’époque, il s’agissait vraiment d’un indicateur (critère) de la norme mondiale et d’un niveau inégalé. La marge d’erreur lors de la production à la Cadillac Motor Car Company était à l’époque d’un fantastique dixième de millimètre.
Mais revenons à l’actuel président des États-Unis. Son tout premier produit commercial a été la limousine Cadillac Trump Series Golden Edition ! À première vue, il s’agit d’une limousine allongée ordinaire construite par une petite entreprise new-yorkaise, Dillinger Coach Works, sur la base de la Cadillac Brougham 1988. Même la présence du nom du milliardaire au potentiel de showman n’est pas très surprenante. Tout d’abord, depuis lors, Trump a commencé à accorder régulièrement des licences de la marque Trump à des hommes d’affaires intéressés par une publicité supplémentaire de leurs produits, de sorte que tout ce qui porte le nom de Trump ne lui appartient pas vraiment. Deuxièmement, l’histoire de l’industrie connaît des astuces marketing bien plus sophistiquées, notamment de la part des studios de tuning, qui tentent de présenter leur produit sous la forme d’un modèle d’usine spécial. D’ailleurs, Trump et sa femme ont assisté à la présentation internationale de la Cadillac la plus à la mode de 1987, le roadster Allante. Lors du salon de l’automobile de New York en 2005, M. Trump s’est montré à l’intérieur de la Cadillac Escalade ESV et, en 2007, sa femme Melania Trump a représenté la Cadillac Escalade lors d’un défilé de mode. Aujourd’hui, c’est la flotte de Cadillac qui dessert les hôtels de Trump.
Les Cadillac modernes ne sont pas fabriquées en usine, c’est un produit à la pièce. Ce sont des limousines de luxe qui coûtent très cher. Tout le monde ne peut pas s’offrir une voiture dont l’intérieur est réalisé dans le style exprimé par le cuir italien, l’acajou et l’épaisse moquette en laine de mouton naturelle. Dans les voitures Golden Edition, tout ce qui est possible est recouvert d’or 24 carats. L’intérieur est équipé d’un téléviseur avec magnétoscope, d’un télécopieur, de deux téléphones portables NEC, d’un système audio Blaupunkt, d’un minibar automatique Perm-a-Pub et même d’un destructeur de papier intégré à l’arrière de la voiture. Sur les revêtements des portes arrière sont installées des tables pour les ordinateurs portables ou l’écriture.
Cadillac est une voiture culte pour les Américains. Il ne s’agit pas d’un simple moyen de transport, mais d’une voiture pour les puissants.
Aujourd’hui, les voitures Cadillac exigent du conducteur non seulement les préférences de ces modèles, mais aussi un permis de conduire (de préférence international). Vous ne l’avez toujours pas ? Nous vous invitons à obtenir rapidement et facilement un permis de conduire international sur notre site web. Cela ne vous prendra pas beaucoup de temps et d’efforts, d’autant plus que ce document est utile pour conduire non seulement des voitures de la marque caractérisée.
Publié November 18, 2019 • 11m to read
